• Comme je l'avais annoncé dans un précédent article, j'ai fait un tri sur Facebook... Force est de constater que certaines personnes l'ont mal pris, ce que je peux comprendre, mais bon : je passe une fois par jour sur Facebook, et encore... Principalement pour prendre facilement des nouvelles d'une partie de ma famille, et d'ami(e)s proches que je n'ai pas l'occasion de voir régulièrement. À côté de ça, j'avais aussi ajouté pas mal de connaissances, toutes aussi sympathiques les unes que les autres, et j'insiste sur ce point. Mais le problème était que je finissais par ne plus m'y retrouver : au dessus de 300 amis, si j'arrivais être en contact régulier avec le tiers, c'était beaucoup. Alors je me suis posé la question : à quoi bon s'ajouter, si, au final, on a rien du tout à s'échanger online ?

    fb

    Et ceci n'est pas une critique mais une simple constatation. C'est avec un grand plaisir que je recroiserai des connaissances, car je les aime bien. Mais Facebook pousse tellement à ouvrir tout sur tout, qu'on finit par ressentir une certaine obligation à avoir tout le monde dans ses amis, parce qu'on les connaît de x ou y endroit... Excusez-moi, je n'ai pas cette vision des choses. J'utilise principalement Facebook pour y prendre des news de la famille éloignée ou de proches que je n'ai pas l'occasion de voir souvent. Je reste également en contact avec des gens qui sont effectivement des connaissances, mais avec lesquelles j'ai réellement et directement échangé, pendant un bon moment. Pour en revenir à ceux que j'ai «effacés» mais contre qui je n'ai rien, je me répète, cela ne veut pas du tout dire que je ne veux plus vous voir ou entendre parler de vous, je veux simplement utiliser Facebook comme bon me semble, c'est à dire pouvoir avoir une liste d'amis qui ne comprend QUE la famille, les ami(e)s proches, et les connaissances directes (celles avec qui j'ai échangé plus -IRL ou online- qu'un «Salut, ça va ? Super, et toi ? Bien aussi ? Ok super, à bientôt !»). Le fait de voir que sur Facebook, tu es de plus en plus obligé(e) «moralement» on va dire, d'accepter tout le monde (même des gens que tu ne connais pas mais qui sont les amis d'amis de tes amis), m'en dégoûte de plus en plus. Je suis sûre que je finirai par quitter ce site «social» mais dictateur. C'était plus simple à l'époque où on allait boire un café de temps en temps avec quelqu'un qu'on aimait revoir. -_-'

    se poser

    Suis-je la seule à rencontrer ce «problème» ? Ou bien suis-je la seule à en avoir marre de la réaction un peu lassante «Ah si tu me vires et qu'on est pas amis sur Facebook, on n'est pas amis dans la vie» ?

    signature

    Rendez-vous sur Hellocoton !


    18 commentaires
  • Le boulot : c'est ce qui te permet de gagner ta vie, et c'est ce qui crée une grande partie de ta vie sociale vu que c'est l'endroit où tu passes la majorité de ton temps. C'est quelque chose qui fait partie de toi et que tu garderas le plus longtemps possible (enfin, normalement hein, si tu fais tout pour).

    work
    Étant petit(e), combien de fois on ne t'a pas demandé «que veux-tu faire plus tard ?», combien de fois ne t'a-t-on pas mis la pression en te disant qu'il faut savoir quelles études choisir plus tard, mais qu'attention il faut bien choisir pour avoir un bon métier et un bon salaire sinon tu vas être au chômage... Oui, MAIS. Et les envies, dans tout ça ? Et les passions ? Et le dégoût des études pour certain(e)s ? On nous a sorti plus souvent du «il faut que tu fasses» que du «de quoi as-tu envie ?».

    Résultat, je remarque avec tristesse qu'il y a énormément de gens qui n'aiment pas leur métier. Pas mal en ont choisi un pour assurer leurs arrières, après de très longues études. Dans certains cas très rares, uniquement pour faire ce que papa et maman voulaient. D'autres ont arrêté l'école et ont directement sauté sur le premier job possible, sans forcément écouter leurs envies... D'autres encore avouent se lever la boule au ventre avant de se rendre sur leur lieu de travail, et d'être stressés à un point tel qu'ils envisagent de faire autre chose mais ne le peuvent pas, pour cause financière. Là est souvent le problème : l'argent. Avec le temps, beaucoup de gens n'ont plus le choix et pensent qu'il faut avoir un travail, peu importe lequel, pour gagner sa vie; plutôt que de prendre le temps de trouver un métier qui leur plaisent. Ce qui est tout à fait compréhensible vu le coût actuel de la vie ! Mais nous ne sommes pas des machines, les sentiments jouent... Et quand on n'aime pas ce qu'on fait, on ne s'épanouit pas, et ce malaise s'invite même dans la vie perso. Un vrai cercle vicieux.

    work
    Heureusement, d'autres gens trouvent quand même leur voie. Après des études spécialisées pour certains, ou par hasard comme pour moi. Oui, par hasard. Je suis sortie de secondaire, mon CESS en mains, mais sans idée précise de ce que je voulais faire. Aimant écrire, le social, les responsabilités et la communication, j'ai tenté instit' primaire et communication, en HE et à l'unif... Mais malheureusement, le dégoût des études m'a submergée, j'avais trop envie de gagner ma vie et quitter ce monde d'étudiant. J'ai donc cherché du boulot qui était en rapport à ce que j'aime, avec un penchant pour le secrétariat. Mon premier entretien fut gagnant mais ne m'intéressait finalement plus, s'en sont suivis quelques entretiens déprimants, et en persévérant j'ai eu la chance de décrocher un entretien très intéressant dans une boîte jeune et dynamique. À première vue, je me suis demandé où était l'arnaque car l'ambiance est géniale, le salaire et les avantages attractifs. Plus de six mois après je ne l'ai toujours pas trouvée, cette arnaque fantôme. :-) Comme quoi, rien n'est jamais perdu : il y a moyen de trouver un job sympa avec des boss vraiment humains et des collègues adorables. Se trouver au bon endroit au bon moment, face aux bonnes personnes, ça change tout et ça ne se contrôle pas. Sur ce coup-là je dois dire que je remercie intérieurement le ciel et ma boss tous les jours car non seulement je suis dans mon élément et je me sens bien; et qu'en plus travailler n'est pour moi pas un fardeau, mais bien tout le contraire.

    Comment ça se passe de votre côté ? Vous vous plaisez dans ce que vous faites ?
    D'ailleurs, vous faites quoi ? Qu'est ce qui vous a poussé jusque là ?
    Ca fait beaucoup de questions, vous m'excuserez haha ;o)

    signature

    Rendez-vous sur Hellocoton !


    17 commentaires
  • Aaah, les premiers rayons de soleil commencent à se pointer... Que c'est agréable ! :-)
    Cela me donne des envies d'été (mais je me contenterais déjà bien du printemps), de chaleur, de soleil, de barbecues, de glaces à manger en se promenant le long de la mer avec Chéri, d'escapades verre en terasse et shopping entre copines, de vacances au soleil... Oui, je sais, je m'emballe vite pour quelques rayons de soleil. Mais cette année, l'hiver me semble encore plus interminable que les autres années. Tu te lèves, il fait noir, le jour se lève à peine quand tu arrives au bureau, et il se couche déjà quand tu en sors... Je suis comme qui dirait en manque de lumière, de chaleur, de vitamine D.

    summer

    Patience, patience...  Bon, un truc qui va quand même m'aider à tenir le coup avant que le soleil revienne définitivement : hors de question de ressortir mes petits shorts en jeans et mes petites robes tant que je n'aurai pas remaigri. Mais ça descend bien, je suis donc ultra-motivée ! Et puis, je vais vous avouer également que je suis déjà en train de jeter un oeil sur les vacances que nous allons prendre Chéri et moi. Ce sera certainement, comme chaque année, pour septembre. Nous avons très envie de retourner en République Dominicaine, et pourquoi pas dans le palace où nous avions été (nostalgie quand tu nous tiens) il y a deux ans. Commencer ses projets d'été en Février, j'avoue (bis), j'abuse. :D

    summer

    Vous avez déjà des petites envies et/ou projets d'été ou je suis la seule à trépigner d'impatience ? :-))

    signature

    Rendez-vous sur Hellocoton !


    11 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique