• I week-end.

    bed

    Toute la semaine, je me dis que je profiterai du week-end pour faire du rangement de fringues, du triage de papiers, du nettoyage intensif, et des tas de choses qui rendraient ma vie super organisée. Et au final je ne fais rien de tout cela...  En réalité, soit je fais une sortie un jour et je flemmarde le lendemain, soit je cocoone les deux jours. Ce qui n'est pas plus mal me direz-vous. 

    bathroom

    Par exemple, le week-end est le moment le plus propice pour prendre soin de moi, et surtout pour avoir le temps de prendre soin de moi... C'est l'instant où j'ai enfin ce temps précieux qui me permet de prendre un bon bain bouillant moussant en écoutant de la musique, de faire de bonnes grasses matinées réparatrices, et de traîner juste après dans mon lit pour feuilleter des magazines en restant blottie au chaud. Je redécouvre aussi le plaisir de pouvoir me vernir les ongles dans les vraies règles de l'art, la base, les deux-trois couches et le top, le tout en ayant même le temps que ça sèche !

    beauty

    Après tout ça, bien sûr, j'ai finalement le temps de faire un rangement, mais un rangement on ne peut plus bref. Car bien sûr je préfère ensuite regarder un film avec mon Chéri, puis bloguer, Hellocotonner, Twitter, Facebooker, faire du e-shopping sur Asos et Sarenza, faire une nouvelle playlist sur mon smartphone pour la semaine à venir, réorganiser mon sac, redécorer la chambre,... Au final, je chipote à énormément de choses, mais qu'est ce que ça délasse ! :-)

    beauty

    À la fin du week-end, j'ai l'impression de n'avoir rien fait, et pourtant j'ai fait tellement de choses... Ne pas devoir réfléchir à ce que l'on fait parce qu'on les fait sur le moment et par envie, ça fait passer le temps à une vitesse... ! Et puis une nouvelle semaine commence, où je me tire à quatre épingles chaque matin en étant à la bourre malgré le fait que je me lève à l'aube, en enfilant un petit déj' sur le pouce composé d'une brique de lait et d'un biscuit, et en ne faisant que courir dans les transports, avant d'enfin me poser au bureau... La semaine et le week-end, c'est le jour et la nuit. La course VS le temps libre, la réflexion VS le lâcher-prise, le réveil quand il fait noir dehors VS le réveil avec la lumière du jour, etc. Les deux ont leurs avantages, mais... Je savoure quand même mieux le week-end.

    Et vous, quels sont vos rituels du week-end ? :-)

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  • Shout loud, breathe in,...

    Drown in the now

    Won't you drown in the now ?!

    Parce que je suis bien sympa. Mais quand je pète mon plomb, je le pète en profondeur. Alors j'inspire, je crie, je me défoule, et je reviens à la réalité. Certaines idioties humaines m'épateront toujours. Je n'ai «que» 22 ans, mais j'estime que le respect doit être une qualité primordiale chez tout le monde, qu'on ait 5 ans ou qu'on en ait 50. Je ne pense pas que tout le monde partage ce point de vue, et ça me désole.

    En règle générale, je ne place sur mon blog que du positif, pour conserver son ambiance cocooning. Je suis comme ça, j'ai besoin de douceur, de «Keep calm» et de respect, ça fait partie de moi. Mais j'ai aussi besoin de sortir les choses quand elles deviennent répétitives et lassantes, et qu'elles me bouffent donc. Quitte à péter un plomb. Un bon plomb. Pour le coup, c'est bel et bien le comportement de certain(s) adulte(s) qui me fatigue. Je ne vais pas aller plus en profondeur à ce niveau-là car mon but n'est pas d'attaquer la personne qui fait déborder le vase,  mais simplement de lâcher le lest qu'elle me colle sur le dos... J'ai 22 ans, un job dont je suis folle, un Chéri dont je suis folle, et une famille dont je suis très proche. Rien que ça, ça fait beaucoup de choses à gérer et à trier par ordre de priorité. Voilà pourquoi je ne comprends pas que certain(s) adulte(s), sensé(s) être plus matûre(s) et posé(s), arrivent encore à se prendre la tête (et surtout celle des autres au passage, dont la mienne) pour des futilités. Comme si on avait tant de temps à perdre, et rien d'autre à faire... Bref, vous l'aurez compris, ça me fatigue.

    Si quelqu'un a un remède du genre «réconfort après un pétage de plombs», et/ou «relativiser pour les nuls», je suis preneuse : lâchez-vous merci ! :-)

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  • T he Amplifetes, c'est un quatuor suédois composé de Peter, Tommy, Korpi,  et Jonback. Ce groupe nous fait plonger dans un univers electro bien particulier... Certes, il faut aimer l'electro mais leurs sons sont tellement entraînants qu'ils peuvent plaire à énormément de gens. La preuve, depuis 2009 avec leur single «It's my life», ils font un carton. Leur premier album (du même nom que le groupe) est sorti en 2010, et est une pure tuerie. :-)))

    The Amplifetes

    Perso, ce groupe je l'ai remarqué grâce à leur fameux premier titre «It's my life» : un morceau electro avec une touche de pop, et une voix... ! Un son entraînant, des paroles qui entrent en tête... Puis le deuxième titre est sorti : «Somebody New». Toujours aussi entraînant mais plus doux, toujours aussi accrocheur. Bref, je commence à être scotchée aux titres. J'ai su qu'il me fallait l'album et que j'étais devenue fan quand le troisième morceau est sorti : «Blinded by the moonlight»... Enjoy. ;o)

    Une chose est sûre : nous n'avons pas fini d'entendre parler de ce groupe. Et c'est tant mieux ! :D

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    Quatuor suédois

    The Amplifetes, c'est Peter, Jonback, Tommy et Korpi.The Amplifetes font dans le maximal, les beats qui dynamitent les chapelles musicales et les hymnes dancefloor pleins de sueur et d’adrénaline.

    C’est autour de ces influences variées, des années 60 (le Velvet Underground en tête) à la house de Chicago, en passant par les Ramones, XTC, Elvis Costello, David Bowie, Kraftwerk, Devo, Prefab Sprout et Jean-Michel Jarre, que The Amplifetes se sont rencontrés il y a quelques années, seulement avec l’idée de faire de la musique combinant leur discothèque.

    Mais en attendant de tester leurs propres mixes, c’est pour les autres que dans l’ombre, The Amplifetes produiront de la musique. Ils ont ainsi écrit des chansons pour Grandmaster Flash, Madonna, Peter Bjorn & John et Kelis.

    Ils en ont gardé un certain art de la mélodie accrocheuse et de l’efficacité mainstream, qui s’insinue dans les esprits avant de s’attaquer aux jambes. A l’aide de l’analogique, de vieux synthés, de logiciels, et d’instruments organiques (guitares, glockenspiels, harmoniums indiens, cithares et autoharpes), ils élaborent de véritables hymnes capables de réveiller un mort.

    Enfin, leur premier album éponyme sort en septembre 2010 chez Believe.

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